Communication science et technologie
Volume 4, Numéro 1, Pages 23-30
2006-01-01
Auteurs : A. S. Benosman . H. Taibi . M. Mouli . M. Belbachir .
Le ciment anhydre est essentiellement composé d'une roche artificielle, dite clinker, constitué au moins de quatre phases (silicates et aluminates de calcium). Chacune de ces phases présente un polymorphisme en fonction de la température et des impuretés. L'argile naturelle est composée principalement de silicates en feuillets (phyllosilicates) d'Al, plus ou moins hydratés. Huit échantillon sont été analysés: Le ciment CPJ-CEM Il/A de deux sites différents (noté CI et C2), deux types d'argile: terre décolorante (magnait) (noté A) et la bentonite (noté B), et pour d'autres études ultérieures, nous avons procédé aux mélanges d'argile et du ciment donnant les combinaisons suivantes: (CI+A), (CI+B), (C2+A) et (C2+B). La technique utilisée est la diffraction des rayons L'identification de leurs différentes phases est donnée par la position d'un certain nombre de pics caractéristiques qui permettent de calculer la distance entre les plans de diffraction. Ainsi, l’interprétation des spectres DRX obtenus met en évidence l'appartenance des 2 argiles à la famille des montmorillonites, et la présence de toutes les phases du c/inter dans le cas des ciments. Pour les autres combinaisons des matériaux, on constate la grande complexité de la composition et de la structure des minéraux.
montmorillonite, ciment, diffraction de RX, renforcement.
A. S. Benosman
.
H. Taibi
.
M. Mouli
.
M. Belbachir
.
pages 37-48.
Hammoudi M.
.
Belhamel M.
.
Si-ahmed E.k
.
pages 557-566.
Badaoui Abdelkader
.
Chettih Abdelkader
.
Sahi Moustafa
.
pages 365-380.
Kennouche Salim
.
pages 142-146.
Bouchoul Boussaha
.
Benaniba M.t.
.
pages 77-80.